Citation de SÉGUR extraite de l'article "effarement" du dictionnaire de français Littré
Il faisait volte-face pour maintenir l'ennemi, quand tout à coup les hauteurs auxquelles il voulait appuyer sa gauche se couvrirent d'une foule de fuyards ; dans leur effarement, ces malheureux se précipitaient et roulaient jusqu'à lui sur la neige glacée qu'ils teignaient de leur sang
(Philippe de SÉGUR, Hist. de Nap. IX, 13)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Les paysans effarouchés avaient fui ; beaucoup de vivres étaient gaspillés |
Hist. de Nap. VIII, 8 |
effarouché, ée |
| Pendant ce temps, le passage du Borysthène s'effectua sur plusieurs points |
Hist. de Nap. VI, 7 |
effectuer |
| Quant à cette jeunesse d'élite qui, dans ces temps de gloire, remplissait nos camps, son effervescence était naturelle |
Hist. de Nap. III, 3 |
effervescence |
| Dans ces contrées, les neiges séjournent longtemps sur les terres ; elles filtrent au travers de leurs parties les moins solides, qu'elles pénètrent profondément, qu'elles délavent et effondrent |
Hist, de Napol. V, 1 |
effondrer |
| Les soldats y attachaient encore plus de prix [à la propreté de leur uniforme] à cause de la difficulté, pour étonner, et parce que l'homme s'enorgueillit de tout ce qui est effort |
Hist. de Nap. VIII, 11 |
effort |
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