Citation de MARIVAUX extraite de l'article "mauvais, aise" du dictionnaire de français Littré
Il faudrait être un bien mauvais esprit pour abuser de cela contre vous
(Pierre de MARIVAUX, Marianne, 5e part.)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Le plus grand ennemi du méchant, c'est celui qui lui ressemble |
Pays. parv. 1re part. |
méchant, ante |
| Le chevalier : Vous connaissez sa soeur, elle est riche, très aimable, et de vos amies, même. - La marquise : Assez médiocrement |
Sec. supr. de l'am. III, 8 |
médiocrement |
| C'était d'ailleurs une situation bien neuve pour moi que la mêlée où je me trouvais |
Marianne, 1re part. |
mêlée |
| Dorante : Ajoutez-y, madame, que c'est un honnête homme. - Angélique : Eh ! sans doute : je vous dis qu'il est riche ; c'est la même chose |
Préj. vaincu, sc. 4 |
même |
| La comtesse : Regardez-moi dans cette occasion-ci comme une autre vous-même ! - Le marquis : Ah ! que c'est bien dit, une autre moi-même ! |
le Legs, SC. 10 |
même |
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| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| C'est un raisonnement bien mauvais que le vôtre |
CORNEILLE
|
Hor. III, 4 |
mauvais, aise |
| Ai-je de bons avis ou de mauvais soupçons ? |
CORNEILLE
|
Cinna, V, 1 |
mauvais, aise |
| On ne m'éblouit point d'une mauvaise ruse |
CORNEILLE
|
Théod. II, 4 |
mauvais, aise |
| La plus mauvaise excuse est assez pour un père |
CORNEILLE
|
Nicom. II, 2 |
mauvais, aise |
| Je m'acquitte à regret de ce mauvais office |
ROTROU
|
Bélis. V, 2 |
mauvais, aise |