Citation de BOSSUET extraite de l'article "pâtir" du dictionnaire de français Littré

Il faut expliquer que ce qu'on appelle pâtir et souffrir ou endurer en cette matière [l'oraison passive] n'est pas le pâtir et le souffrir qui est opposé à la joie et accompagné de douleur, mais le pâtir et le souffrir qui est opposé au mouvement propre et à l'action qu'on se peut donner à soi-même

(Jacques-Bénigne BOSSUET, États d'orais. VII, 2)