Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "choyer" du dictionnaire de français Littré
Il le choie, il l'embrasse, et pour une maîtresse On ne saurait, je pense, avoir plus de tendresse
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Tart. I, 2)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Moi, Monsieur ? quelque sot ! la colère fait mal ; Et je veux me choyer, quoi qu'enfin il arrive | l'Étour. II, 7 | choyer |
| Il faut parler chrétien, si vous voulez que je vous entende | les Préc. rid. 7 | chrétien, ienne |
| Un monde.... Est chu tout au travers de notre tourbillon | Femmes sav. IV, 3 | chu, chue |
| La chute en est jolie, amoureuse, admirable | Mis. I, 2 | chute |
| De cet exemple-ci ressouvenez-vous bien, Et quand vous verriez tout, ne croyez jamais rien | Sgan. sc. 24 | ci |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Je t'ai toujours choyé, t'aimant comme mes yeux | LA FONTAINE | Fabl. VIII, 22 | choyer |
| Ta mère le choie ; Zara ne le néglige pas | COURIER | Lett. II, 102 | choyer |
| De peur de voir finir mon argent, je le choie | ROUSSEAU | Conf. I | choyer |