Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "veau" du dictionnaire de français Littré
Il semble à trois gredins dans leur petit cerveau, Que, pour être imprimés et reliés en veau, Les voilà, dans l'État, d'importantes personnes
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Femm. sav. IV, 3)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Aristote a consacré des veilles au théâtre | Tart. Préface | veille |
Ne sens-je pas bien que je veille ? Ne suis-je pas dans mon bon sens ? | Amph. I, 2 | veiller |
Je me trouve un peu incommodé de la veine poétique, par la quantité de saignées que j'y ai faites ces jours passés | Préc. 12 | veine |
Vin à séve veloutée, armé d'un vert qui n'est point trop commandant | Bourg. gent. IV, 1 | velouté, ée [1] |
Si quatre mille écus de rente bien venants.... | Éc. des mar. I, 2 | venant, ante |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Et qui m'empêchera de mettre en notre étable Une vache et son veau ? | LA FONTAINE | Fabl. VII, 10 | veau |
Le premier hiver est le temps le plus dangereux de la vie des veaux et, par conséquent, celui où ils demandent le plus de soins | GENLIS | Maison rust. t. I, p. 227, dans POUGENS | veau |
Vous êtes-vous souvenu d'aller à ce messager de Rouen savoir si ce quartier de veau de rivière, ce muid de cidre, ces pots de noix confites et ces deux témoins sont arrivés ? | DANCOURT | Femme d'intr. I, 3 | veau |
Amenez aussi le veau gras, et le tuez ; mangeons et faisons bonne chère | SACY | Bible, Évangile St Luc, XV, 23 | veau |
Si vous aviez appris à prendre le temps comme il vient, et à ne pas négliger les pieds de veau de Provence | SÉVIGNÉ | 17 janv. 1680 | veau |