Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "maraud, aude" du dictionnaire de français Littré
Ils ressemblent à ce valet de comédie ivre qui, entendant prononcer le mot de maraud, dit naïvement : maraud, voilà quelqu'un qui me connaît
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. au roi de Pr. 14 déc. 1781)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Quant à vous, mon cher ami, frappez fort ; vous êtes en place marchande pour cela | Lett. à Voltaire, 13 mai 1759 | marchand, ande |
Quelque aguerri que vous deviez être à voir cette robe, puisque vous en nourrissez un [un jésuite] depuis dix ans, je ferais scrupule de vous surcharger de pareille marchandise | Lett. à Voltaire, 11 mars 1766 | marchandise |
En vérité, il est abominable de mettre à si bon marché la vie des hommes | Lett. à Voltaire, 16 juill. 1766 | marché [1] |
La profondeur et la figure des côtes, les vents et les courants altèrent tellement la hauteur des marées, qu'il n'y a peut-être pas deux endroits sur la terre où elle soit exactement la même | Introd. précess. équin. Oeuvres, t. XIV, p. 56, dans POUGENS. | marée |
La pauvre philosophie se trouverait une seconde fois dans le margouillis dont Dieu et vous la vouliez préserver | Lett. à Voltaire, 9 juill. 1764 | margouillis |
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