Citation de GUEZ DE BALZAC extraite de l'article "éternité" du dictionnaire de français Littré
J'en tirerai de la gloire [d'un livre de Chapelain] et non pas vous, qui êtes un vrai moqueur de me mander si souvent que vous me devrez votre éternité, et que je vous donne ce que je pense plutôt recevoir de vous
(Jean-Louis GUEZ de BALZAC, Lett. inédites, LXXXIII (éd. Tamizey-Larroque).)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Si vous en faites une terrible réprimande à Rocolet [son imprimeur], je ferai quelque chose de pis, et il ne me sera plus qu'ethnique et publicain, tant j'ai sujet de me plaindre de ses continuelles bévues et de son insupportable négligence | Lett. inédites, XII (éd. Tamizey-Larroque) | ethnique |
Le barbon rapporte quantités d'histoires de pareille étoffe sur la foi de Callisthène | le Barbon. | étoffe |
Encore voyons-nous des gens qui attendent pour s'étonner que la mauvaise fortune soit venue | 5e disc. sur la cour. | étonner |
Il s'est étonné que je n'ai rien vu de tout cela | Lett. à Chapelain, 8 janv. 1640 | étonner |
Par l'addition de l'étranger et du superflu, vous effacez souvent le propre et l'essentiel | Socr. chrét. Disc. 7 | étranger, ère [1] |
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