Citation de RETZ extraite de l'article "translation" du dictionnaire de français Littré
Je l'assurai que je n'avais aucune aversion à la translation de MM. les princes
(Jean-François Paul de Gondi, cardinal de RETZ, Mém. t. II, liv. III, p. 204, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Le cardinal de Richelieu était persuadé qu'elle avait traversé l'inclination qu'il avait pour la reine | Mém. t. I, liv. I, p. 13, dans POUGENS | traverser |
Cette porte, étant à jour par des treillis, n'empêcherait pas les gardes de me voir | IV, 314 | treillis |
Ce mouvement fit une commotion, et causa un trépignement dans la grand'chambre, qui fut entendu dans la quatrième | Mém. t. II, liv. III, p. 124, dans POUGENS | trépignement |
Je me croyais dans la nécessité ou de subir avec lui le joug du monde le plus honteux, ou de m'ériger purement et simplement en tribun du peuple, qui est le parti du monde le moins sûr et même le plus bas, toutes les fois qu'il n'est pas revêtu de force | Mém. t. I, liv. II, p. 265, dans POUGENS | tribun |
Le normand et le gascon et le nôtre [les parlements de Rouen, de Bordeaux et de Paris joints ensemble dans la Fronde] faisaient tricon | t. IV, liv. V, p. 325, dans LACURNE | tricon |
Plus de citations de RETZ... |