Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "codicille" du dictionnaire de français Littré
Je le lui donne par un codicille, révoquant à cet effet tous les testaments antérieurs
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. d'Argental, 17 janv. 1763)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Y a-t-il rien de plus sot que de vouloir porter continuellement un fardeau qu'on veut toujours jeter par terre ; d'avoir son être en horreur et de tenir à son être ; enfin de caresser le serpent qui nous dévore, jusqu'à ce qu'il nous ait mangé le coeur ? | Candide, 11 | coeur |
| Je sais que tous les lieux sont égaux pour les esprits bien faits ; mais il n'en est pas de même quand les esprits bien faits ont des coeurs sensibles | Lett. Chauvelin, 25 août 1763 | coeur |
| Avec des vers bien faits, bien compassés, on ne tient rien si le coeur n'est ému | Lett. d'Argental, 16 déc. 1760 | coeur |
| Les coeurs sont-ils donc faits à Paris autrement que chez moi ? | Lett. d'Argental, 17 sept. 1760 | coeur |
| Le bel art de la déclamation, c'est-à-dire l'art de se rendre maître des coeurs | Lett. Albergati, 14 fév. 1763 | coeur |
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