Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "dont" du dictionnaire de français Littré
Je me traîne encore, ce me semble, à une assez petite distance du rivage dont il me repousse
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. Roi de Prusse, 28 oct. 1765)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
M. de Mairan, mon double confrère à l'Académie française et à celle des sciences, vient de mourir à quatre-vingt-treize ans |
Lett. au roi de Prusse, 21 avril 1771 |
double |
Tous eurent le courage de lui être fidèles ; et lui, de ne pas douter qu'ils ne le fussent |
Éloges, milord Maréchal |
douter |
La compagnie de Jésus est dans de mauvais draps |
Lett. à Volt. 31 mars 1762 |
drap |
Je viens de remettre à l'ami Thiriot une copie de ma petite drôlerie, que vous me paraissez avoir envie de lire |
Lett. à Volt. 22 sept. 1760 |
drôlerie |
Croyez-vous que la hauteur, un héros, tout le camp ennemi, et mille autres heurtements semblables ne soient pas plus écorchants qu'une simple rencontre de voyelles que nos règles interdisent ? |
Lett. à Voltaire, 26 mars 1770 |
écorchant, ante |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Ne doutez pas du bras dont partiront les coups |
CORNEILLE
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Poly. V, 6 |
dont |
C'est moi, vous dis-je, moi, dont le patron le sait |
MOLIÈRE
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Am. magnif. III, 7 |
dont |
Messieurs les maréchaux, dont j'ai commandement |
MOLIÈRE
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Mis. II, 7 |
dont |
Et principalement ma mère étant morte, dont on ne peut m'ôter le bien |
MOLIÈRE
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l'Av. II, 1 |
dont |
Comme ami de son maître de musique, dont j'ai obtenu le pouvoir de dire qu'il m'envoie à sa place |
MOLIÈRE
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Mal. im. II, 1 |
dont |