Citation de MARIVAUX extraite de l'article "oie" du dictionnaire de français Littré
Je mettais mon chapeau en garçon qui n'était pas un sot ; enfin j'avais déjà la petite-oie de ce qu'on appelle usage du monde
(Pierre de MARIVAUX, Pays. parv. part. I)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| On vous épousera, toute fière qu'on est |
Fausse confid. I, 2 |
on |
| Par la mardi, vous parlez d'or, vous m'ôtez plus de cent pesant de dessus le corps, et vous prenez bien la chose |
Surpr. de l'amour, II, 5 |
or [2] |
| Dans Mme de Miran, je vous ai peint une femme d'un esprit ordinaire, de ces esprits qu'on ne loue ni qu'on ne méprise |
Marianne, 5e part. |
ordinaire |
| Il n'y a ici que M. de Valville qui pourrait l'accompagner, et il ne serait pas dans l'ordre qu'il partît avec elle |
Marianne, VI |
ordre |
| Notre orgueil nous met si vite au fait de celui des autres |
Marianne, XIe part. |
orgueil |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "oie" du dictionnaire de français Littré
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Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| L'oie nous fournit cette plume délicate sur laquelle la mollesse se plaît à reposer, et cette autre plume, instrument de nos pensées, et avec laquelle nous écrivons ici son éloge |
BUFFON
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Ois. t. XVII, p. 47 |
oie |
| La domesticité de l'oie est moins ancienne et moins complète que celle de la poule |
BUFFON
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ib. p. 49 |
oie |
| Les oies sauvages sont peut-être de tous les oiseaux les plus sauvages et les plus farouches |
BUFFON
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ib. p. 79 |
oie |
| La paix ! il n'y aura point de paix ; c'est un labyrinthe dont on ne se peut tirer ; ah ! pauvres Français, réjouissez-vous ; car vous n'avez pas le sens d'une oie |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 14 sept. 1761 |
oie |
| Plus, un trou-madame et un damier, avec un jeu de l'oie, renouvelé des Grecs, fort propres à passer le temps lorsqu'on n'a que faire |
MOLIÈRE
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l'Avare, II, 1 |
oie |