Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "manuscrit, ite" du dictionnaire de français Littré
Je puis protester que le marquis de Fénelon, son neveu [de Fénelon], ambassadeur, me les dit [des vers de Fénelon] à la Haie en 1741 ; il y avait dans la chambre un homme fort connu qui pourrait s'en souvenir ; c'est en présence du même homme que M. de Fénelon me montra le manuscrit original du Télémaque
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Siècle de Louis XIV, Supplément, 3e part.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Cette courtière était une maquignonne d'affaires, qui prêtait et empruntait sur gages | Polit. et législ. Essai probab. en fait de justice, 1re probabilité. | maquignon |
| Que diriez-vous si un marabout du mont Atlas.... | Dict. phil. Grâce, III | marabout [1] |
| Songez que Paris, qui n'est pas d'un dixième moins grand que Londres, n'était alors [dans l'antiquité] qu'une petite cité barbare ; Amsterdam n'était qu'un marais.... | Dial. 24 | marais |
| Quand la marâtre nature nous prive de la vue, elle peint les objets avec plus de force dans le cerveau | Lett. Mme du Deffant, 12 déc. 1768 | marâtre |
| Il me paraît que tous les honnêtes gens ont été d'autant plus sensibles à la perte d'Helvétius, que les marauds d'ex-jésuites et les marauds d'ex-convulsionnaires ont toujours aboyé contre lui jusqu'au dernier moment | Lett. Condorcet, 1er févr. 1772 | maraud, aude |
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