Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "falloir" du dictionnaire de français Littré
Je suis de retour dans un moment ; que l'on ait bien soin du logis, et que tout aille comme il faut
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Mar. f. 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Sans ce trait falot Un homme l'emmenait, qui s'est trouvé fort sot | l'Ét. II, 14 | falot, ote [2] |
| Tu as donc familiarité avec le prince ? | Princ. d'Él. III, 3 | familiarité |
| Oui, ma pauvre fanfan, pouponne de mon âme | Éc. des mar. II, 14 | fanfan |
| Voilà ton demi-cent d'aiguilles de Paris, Que tu me donnas hier avec tant de fanfare | le Dép. IV, 4 | fanfare |
| Ce ne sont point fanfarons de vertu | Tart. I, 6 | fanfaron, onne |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "falloir" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Il nous faudrait mille personnes Pour éplucher tout ce canton | LA FONTAINE | Fabl. I, 8 | falloir |
| Il fallait un Aristote pour un Alexandre | ROLLIN | Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 601, dans POUGENS | falloir |
| Pour le petit nombre de ceux dont la tête est ferme, le goût délicat et le sens exquis, et qui comme vous, messieurs, comptent pour peu le ton, les gestes et le vain son des mots, il faut des choses, des pensées, des raisons | BUFFON | Disc. de récep. à l'Acad. | falloir |
| Il a fallu vingt mille ans pour la retraite des eaux, qui d'abord étaient élevées de deux mille toises au-dessus du niveau de nos mers actuelles | BUFFON | 4e époque, Oeuv. t. XII, p. 230, dans POUGENS | falloir |
| Il me faut qui m'estime, il me faut des amis à qui dans mes secrets tout accès soit permis | CHÉNIER | Élég. XI | falloir |