Citation de LA FONTAINE extraite de l'article "langue" du dictionnaire de français Littré
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue
(Jean de LA FONTAINE, Fabl. VII, 1)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Il n'acheta que des langues, lesquelles il fit accommoder à toutes les sauces ; l'entrée, le second, l'entremets, tout ne fut que langues |
Vie d'Ésope. |
langue |
| Que ne sait point ourdir une langue traîtresse ? |
Fabl. III, 6 |
langue |
| Je supplie avant tout les dieux de m'assister ; Fassent les immortels, conducteurs de ma langue, Que je ne dise rien qui doive être repris |
ib. XI, 7 |
langue |
| Disant que la langue est la pire chose qui soit au monde ; c'est la mère de tous les débats, la nourrice des procès, la source des divisions et des guerres |
Vie d'Ésope. |
langue |
| Ce brouet fut par lui servi sur une assiette ; La cigogne au long bec n'en put attraper miette, Et le drôle eut lapé le tout en un moment |
Fabl. I, 18 |
laper |
| Plus de citations de LA FONTAINE... |
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "langue" du dictionnaire de français Littré
| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| En général, les animaux qui ont la langue rude sont ordinairement carnassiers |
BUFFON
|
Quadrup. t. IV, p. 329, note d, dans POUGENS |
langue |
| Il le servit enfin, mais ce fut de la langue |
CORNEILLE
|
Pomp. I, 1 |
langue |
| Je vous l'ai déjà dit, votre langue nous perd |
CORNEILLE
|
Héracl. II, 4 |
langue |
| Tudieu ! comme avec lui votre langue cajole ! |
MOLIÈRE
|
Éc. des f. V, 4 |
langue |
| Ma langue, en cet endroit, A fait un pas de clerc dont elle s'aperçoit |
MOLIÈRE
|
le Dép. I, 4 |
langue |