Citation de MALHERBE extraite de l'article "épandre" du dictionnaire de français Littré
L'astre qui luit aux grands... Épandit dessus moi tant d'heur et de puissance
(François de MALHERBE, V, 30)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Tel qu'à vagues épandues Marche un fleuve impérieux, De qui les neiges fondues Rendent le cours furieux | II, 2 | épandu, ue |
| Mon avis était qu'il fallait éplucher un homme en sa vie, et non pas en son origine | Lett. à M. Colomb. | éplucher |
| Il y a douze ou quinze jours qu'ils se sont épousés | Lexique, éd. L. Lalanne. | épousé, ée |
| La constance, équanimité, persévérance, sont égales entre elles | Lexique, éd. L. Lalanne | équanimité |
| Tout ce que la grandeur a de vains équipages | VI, 25 | équipage |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Où Polycrène épand ses libérales eaux | ROUSSEAU J.-B. | Ép. VI | épandre |
| Océan, qui sur tes rives Épands tes vagues plaintives | LAMARTINE | Harm. II, 13 | épandre |
| J'épandrais mon sang Plutôt que de rien faire indigne de mon rang | CORNEILLE | Cid, I, 4 | épandre |
| J'abandonne mon sang à qui voudra l'épandre | CORNEILLE | Cinna, IV, 4 | épandre |
| Daigne du juste ciel la bonté souveraine.... n'épandre sur vous que des prospérités | CORNEILLE | Rodog. II, 3 | épandre |