Citation de MARMONTEL extraite de l'article "énervé, ée" du dictionnaire de français Littré
L'on distinguera toujours dans les travaux, dans les combats, et surtout dans la discipline, l'homme docile et fort tiré de la charrue, de l'homme énervé, dissolu, qu'on a pris à l'ombre des murs
(Jean-François MARMONTEL, Oeuvres, t. XVII, p. 94, dans POUGENS)
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| Il mêlait des sentiments si fiers et si nobles aux enfantillages de l'amour-propre, que tout cela ensemble n'avait rien que d'intéressant | Contes moraux, Scrup. | enfantillage |
| Vous me flattez, dit le président, avec une pudeur enfantine et faisant semblant de rougir | Contes moraux, Philos. soi-dis. | enfantin, ine |
| Ennuyé de sa magnificence, il abandonne ces vastes enfilades aux regards des passants, et se retire dans un étroit réduit | Essai sur le bonh. Oeuvres, t. XVII, p. 206, dans POUGENS. | enfilade |
| Le génie qui m'inspirait m'abandonna ; mon esprit et mon âme tombèrent languissants comme les voiles d'un navire auquel tout à coup manque le vent qui les enflait | Mém. III | enfler |
| De grands mots et de petites idées ne sont jamais que de l'enflure | Élém. litt. Oeuvres, t. x, p. 227, dans POUGENS | enflure |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Ô Dieu ! rendez la force à mes bras énervés | VOLTAIRE | Mérope, v, 5 | énervé, ée |