Citation de GENLIS extraite de l'article "muse [1]" du dictionnaire de français Littré
La brillante marquise de la Sablière, la femme du monde qui a inspiré le plus de jolis vers, puisqu'elle était à la fois la muse de son mari, celle de la Fare son amant, et de la Fontaine son ami
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Mme de Mainten. t. I, p. 102, dans POUGENS)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| On connaît que l'eau commence à être viciée, c'est-à-dire privée de l'air propre à la respiration, lorsque le poisson monte à la surface et sort le museau de l'eau | Maison rust. t. III, p. 407, dans POUGENS | museau |
| Beuvron, qui, causant et chantant avec un égal agrément, mettait en musique les chansons de Coulanges | Mme de Maintenon, t. I, p. 164, dans POUGENS | musique |
| Quoiqu'elle eût une discrétion parfaite, elle ne fut jamais mystérieuse | Mme de Maintenon, t. II, p. 34, dans POUGENS | mystérieux, euse |
| Théodore, qui, durant ce temps, contemplait les deux plus longues nattes et les plus beaux cheveux du monde | Adèle et Théod. t. III, p. 348, dans POUGENS | natte |
| On m'a fait entendre, par exemple, qu'elle est fausse, et il n'existe peut-être pas au monde une femme plus franche et plus naturelle | Théât. d'éduc. le Méchant par air, II, 1 | naturel, elle |
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