Citation de PATIN extraite de l'article "médecine" du dictionnaire de français Littré
La cherté de leurs drogues [des apothicaires] les a fait haïr dans les familles, où les médecins ont introduit une domestique et familière médecine, dont le peuple est fort soulagé
(Gui PATIN, Lett. t. II, p. 196)
Autres citations de Gui PATIN
Citation | Œuvre | Entrée |
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Pline servira bien à mon dessein ; les écrits de ce personnage sont une grande mer dans laquelle il fait bon pêcher | Lett. t. II, p. 554 | mer |
Ce chétif écrivain qui n'aura pas manqué d'écrire mercenairement et de prostituer sa plume.... | Lett. t. II, p. 331 | mercenairement |
J'ai vu aujourd'hui le roi [le jeune Louis XIV] qui s'en allait à la chasse ; c'est un beau prince, fort et robuste ; c'est dommage qu'il ne sait pas son métier.. | Lett. t. II, p. 386 | métier |
Je tiens pour certain qu'il pourrait plus gagner à Paris qu'il ne fera en Italie, où il y a meilleure mine que bon jeu et même peu d'estime pour les gens de lettres | Lett. t. II, p. 333, dans POUGENS | mine [1] |
De toutes ces plaintes féminines, je n'en fais ni mise ni compte | Lettres, t. IV, p. 162, dans POUGENS | mise |
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