Citation de MALEBRANCHE extraite de l'article "porter [1]" du dictionnaire de français Littré
La force qui met nos esprits en mouvement, c'est la volonté de Dieu qui nous anime et qui nous porte vers le bien
(Nicolas MALEBRANCHE, Rech. vér. éclairc. liv. VI, t. IV, p. 315, dans POUGENS.)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Les plus habiles praticiens, ceux qui ont l'oreille la plus délicate et la plus fine, ne sont pas encore assez sensibles pour reconnaître la différence qu'il y a entre certains sons | Rech. vér. VI, I, 4 | praticien |
Je dois distinguer l'idée de ma main, de la perception que j'en ai ; les idées des objets sont donc préalables aux perceptions que nous en avons | Rech. vér. Rép. à Régis, 2 | préalable |
L'on ne doit pas s'imaginer que ce qui précède un effet en soit la véritable cause | Rech. vér. VI, I, 3 | précéder |
Lorsque la suite du discours détermine le sens auquel on les prend [les termes] | Rech. vér. Éclairc. l. I, t. IV, p. 36, dans POUGENS. | prendre |
L'esprit se rebute et s'abat aussitôt qu'il a fait quelque effort pour se prendre et pour s'arrêter à quelque vérité | Rech. vér. III, II, 9 | prendre |
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