Citation de GENLIS extraite de l'article "littérature" du dictionnaire de français Littré
La littérature allemande n'est véritablement intéressante que depuis quarante ans
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Adèle et Théod. t. I, p. 122, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Le maître d'hôtel et le cuisinier lui apporteront, tous les matins, leurs livres de dépenses | Adèle et Théod. t. II, p. 155, dans POUGENS | livre [1] |
Voyez un peu la malice ! oh ! elle en sait long | Théât. d'éduc. la Lingère, II, 4 | long, ongue |
Ne souffre jamais une louange qui ne serait fondée que sur une erreur | Veillées du château I, I, p. 448, dans POUGENS | louange |
L'une est la fille d'une laitière, et l'autre d'une loueuse de chaises | Théât. d'éduc. Le vrai sage, II, 5 | loueur, euse [1] |
S'expliquer avec un détail aussi superflu, c'est être lourd et pesant ; voilà le contraire de la finesse | Veillées du château t. I, p. 262, dans POUGENS | lourd, ourde |
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