Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "nain, aine" du dictionnaire de français Littré
La naine, un abrégé des merveilles des cieux
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Mis. II, 5)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Ne rougissez-vous point de mériter si peu votre naissance ?... non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas | Don Juan, IV, 6 | naissance |
| Les inclinations naissantes ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement | D. Juan, I, 2 | naissant, ante |
| Il y a de la lâcheté à déguiser ce que le ciel nous a fait naître | Bourg. gent. III, 12 | naître |
| De l'objet qu'on poursuit je suis encor nanti | Éc. des femm. IV, 7 | nanti, ie |
| Ils traitent les savants de faquins à nasardes | Fâch. III, 2 | nasarde |
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