Citation de BOURDALOUE extraite de l'article "départir" du dictionnaire de français Littré
La prudence est un don de Dieu qui départ ses grâces à qui il lui plaît
(Louis BOURDALOUE, Pensées, t. II, p. 477)
Citation | Œuvre | Entrée |
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En cela consiste le bienheureux engagement qu'a la créature raisonnable et intelligente à n'user de sa liberté et de ses droits que dépendamment de Dieu son seigneur et son souverain | Carême, I, p. 509 | dépendamment |
Dépendre, c'est selon la plus claire notion et la plus évidente être tenu d'obéir | Exhortation sur l'obéissance relig. t. I, p. 262 | dépendre [2] |
Pour plaire à Dieu, il faut nous déplaire à nous-mêmes ; et, pour nous déplaire à nous-mêmes, il faut nous voir | Jugement dern. 1er avent, p. 86 | déplaire |
[La contrition] Ce n'est pas même une simple déplaisance de la raison, qui, naturellement droite, ne peut s'empêcher d'apercevoir le désordre du péché et de le condamner | Pensées, t. I, p. 289 | déplaisance |
La déplorable situation de cette multitude d'hommes, de femmes, de filles que la faim dévore et dont la vie est moins une vie qu'une mort lente | Exhort. Charité envers les pauvres, t. I, p. 19 | déplorable |
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