Citation de RETZ extraite de l'article "volonté" du dictionnaire de français Littré
La reine connut bien par l'embarras de Son Altesse Royale que sa conduite était plutôt un effet de sa faiblesse que de sa mauvaise volonté
(Jean-François Paul de Gondi, cardinal de RETZ, Mém. t. II, liv. III, p. 490, dans POUGENS)
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| Il faudrait des volumes..., il serait très long d'exposer par écrit... Il faudrait des volumes pour vous raconter toutes ses fautes, dont les moindres étaient d'une importance extrême | Mém. t. II, liv. I, p. 135, dans POUGENS | volume |
| Revenez à moi, me dit-elle, et je me moquerai de votre Monsieur [le frère do Louis XIII], qui est le dernier des hommes | Mém. t. II, liv. III, p. 365, dans POUGENS | votre |
| M. de Beaufort et Mme de Montbazon ne voulaient proprement rien à force de tout vouloir ; et ces sortes d'esprit assemblent toujours dans leurs imaginations des choses contradictoires | Mém. t. II, liv. III, p. 221, dans POUGENS | vouloir [1] |
| Ce chef de parti [Conti] était un zéro, qui ne multipliait que parce qu'il était prince du sang | II, 217 | zéro |
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