Citation de COLLIN D'HARLEVILLE extraite de l'article "santé" du dictionnaire de français Littré
La santé peut paraître à la longue un peu fade ; Il faut, pour la sentir, avoir été malade
(Jean-François COLLIN D'HARLEVILLE, Optimiste, I, 7)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| La maison sauterait plutôt que j'en sortisse | Vieux célib. II, 6 | sauter |
| Vous m'annoncez quelqu'un si facile, si bon ! D'une ingénuité, d'une simplesse extrême | Malice pour malice, I, 3 | simplesse |
| Jadis les demoiselles Soignaient les chevaliers qui se battaient pour elles | Chât. en Esp. IV, 5 | soigner |
| Et le temps aujourd'hui Est sombre tout cela me donne un peu d'ennui | Vieux célib. II, 2 | sombre |
| Un cruel accident tout à coup m'a ravi Mon père ; et de bien près ma mère l'a suivi | Vieux célib. IV, 3 | suivre |
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