Citation de BUFFON extraite de l'article "moule [1]" du dictionnaire de français Littré
Le corps d'un animal est une espèce de moule intérieur, dans lequel la matière qui sert à son accroissement se modèle et s'assimile au total
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Hist. anim. ch. 3, Oeuv. t. III, p. 60)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Ils [les excréments du dindon] ont assez de consistance pour se mouler en sortant par l'anus | Ois. t. III, p. 207, dans POUGENS | mouler [1] |
Il faudrait s'attacher à perfectionner la moulerie ; cette opération est difficile, mais elle n'est pas impossible à quelqu'un d'intelligent | Hist. nat. Introd. part. exp. Oeuv. t. VIII, p. 149 | moulerie |
Nous commençons de vivre par degrés, et nous finissons de mourir comme nous commençons de vivre | Hist. nat. Hom. Oeuv. t. IV, p. 368 | mourir |
Les mois dans lesquels il meurt le plus de monde sont mars, avril et mai, et ceux pendant lesquels il en meurt le moins sont août, juillet et septembre | Prob. de la vie, Oeuv. t. X, p. 513 | mourir |
L'on peut connaître l'âge du chien par les dents, qui dans la jeunesse sont blanches, tranchantes et pointues, et qui, à mesure qu'il vieillit, deviennent noires, mousses et inégales | Chien. | mousse [1] |
Plus de citations de BUFFON... |