Citation de BONNET extraite de l'article "coutelier, ière" du dictionnaire de français Littré
Le coutelier ne rampe point ; il perce le sable perpendiculairement, il s'y creuse un trou ou une sorte de cellule qui a quelquefois deux pieds de longueur et dans laquelle il monte et descend à son gré
(Charles BONNET, Contempl. nat. 12e part. ch. 9)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Il faudrait s'assurer si un essaim qui a du couvain et qu'on prive de sa mère, ne continue pas à travailler, au moins jusqu'au temps où les petits se transforment en mouches |
Oeuvres, t. X, p. 98, dans POUGENS |
couvain |
Mes chenilles tapissèrent de soie toutes les parois du poudrier, ce qui leur donnait plus de facilité pour se cramponner contre le verre |
Insectes, observ. 4 |
cramponner |
Passerai-je sous silence les amours du crapaud, cet animal hideux, et qui peut néanmoins nous intéresser par sa constance, par sa patience et par sa dextérité à servir d'accoucheur à sa femelle ? |
Consid. Corps org. Oeuvres, t. VI, p. 142, dans POUGENS. |
crapaud |
Ce n'est qu'assez improprement qu'on peut dire que le crapaud est ovipare ; c'est que les petits corps qu'il met au jour en si grand nombre ne sont pas précisément des oeufs ; ils sont, à parler exactement, les têtards eux-mêmes, déjà tout formés |
Contempl. nat. part. XII, ch. 42 |
crapaud |
On entendait, à plusieurs centaines de pas, des craquements semblables au claquement d'un fouet ou aux éclats d'un feu d'artifice |
Contempl. nat. part. V, ch. 13 |
craquement |
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