Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "testicule" du dictionnaire de français Littré
Le même parlement de Paris, le 8 janvier 1665, rendit arrêt sur la nécessité de deux testicules apparents, et déclara que sans eux on ne pouvait contracter mariage
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Dict. phil. Test.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| C'est de mon fumier que j'ai l'honneur de vous écrire avec un têt de pot cassé | Lett. à Mme de Choiseul, 13 mars 1771 | têt |
| On voit dans les étangs glisser les têtards destinés à être grenouilles | Sing. 12 | têtard |
| Nous avons mis la tête à la fenêtre, et nous avons pris le soleil pour la lune, tant il était pâle | Lett. en vers et en prose, 10 | tête |
| Pour moi, je souffre de la tête aux pieds dans mon pauvre corps, et mon esprit est à la torture | Lett. d'Argental, 27 déc 1774 | tête |
| À propos, vous frondez la perruque de Boileau [les vers où il parle de sa perruque] ; vous avez la tête bien près du bonnet | Lett. d'Alemb. 8 oct. 1760 | tête |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Valisnieri, ayant examiné les testicules d'une truie qui n'avait pas encore porté | BUFFON | Hist. anim. VII | testicule |