Citation de GENLIS extraite de l'article "place" du dictionnaire de français Littré
Les gens en place sont, au fond, beaucoup plus modestes qu'on ne le croit ; car ils supposent toujours que les louanges qu'on leur donne sont intéressées
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Mlle de la Fayette, p. 190, dans POUGENS)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| On évalue le nombre des plantes qui conviennent aux chèvres à environ cinq cents, celui des plantes qui conviennent aux bêtes à cornes et aux chevaux à deux cents, le nombre de celles qui conviennent aux brebis à quatre cents | Maison rust. t. I, p. 262, dans POUGENS | plante |
| On juge les chevaux par la conformation de leurs parties apparentes et par la manière dont ils sont plantés sur leurs jambes | Maison rust. t. I, p. 187, dans POUGENS | planté, ée |
| Je sais bien que, la maison étant bâtie depuis plus de dix-huit mois, les plâtres doivent être secs | Ad. et Théod. t. III, p. 172, dans POUGENS | plâtre |
| Il y a déjà tout plein de monde sur la place | Théât. d'éduc. la Rosière, I, 3 | plein, eine [1] |
| Elle pleurnichait sous prétexte de sa vieille tante.... | Théât. d'éd. la Lingère, II, 4 | pleurnicher |
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