Citation de ROLLIN extraite de l'article "féliciter" du dictionnaire de français Littré
Les pères et les mères de ceux qui étaient morts en combattant se félicitaient les uns les autres, et allaient dans les temples remercier les dieux de ce que leurs enfants avaient fait leur devoir ; au lieu que les parents de ceux qui avaient survécu à cette défaite étaient inconsolables
(Charles ROLLIN, Traité des Ét. liv. V, 3e part. ch. 2)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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Il ne pouvait y avoir de paix ferme et durable que celle où toutes les parties trouvaient un avantage égal | Hist. anc. Oeuvres, t. v, p. 381, dans POUGENS | ferme [1] |
Il n'y eut que Samé, qui, après avoir fait sa soumission comme les autres, s'en repentit et ferma ses portes aux Romains | Hist anc. Oeuvres, t. VIII, p. 448, dans POUGENS | fermer |
Les chariots rangés quatre à quatre fermaient la marche | Hist. anc. Oeuvres, t. II, p. 271, dans POUGENS | fermer |
Les fermiers généraux dont il avait dévoilé au peuple les vols et les rapines, accoutumés jusque-là à s'engraisser des deniers publics, jetèrent alors les hauts cris | Hist. anc. Oeuv. t. I, p. 489, dans POUGENS | fermier, ière |
Déterminée à mourir, et par là devenue capable des plus féroces résolutions, elle [Cléopâtre] vit d'un oeil sec et tranquille couler dans ses veines le poison mortel de l'aspic | Hist. anc. Oeuv. t X, p. 388, dans POUGENS | féroce |
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