Citation de BONNET extraite de l'article "flasque [1]" du dictionnaire de français Littré
Les épis n'ont pas laissé de prendre leur accroissement ordinaire ; ils se sont garnis de grains ; mais tous ou presque tous ces grains sont demeurés flasques ou entièrement privés de farine
(Charles BONNET, Lett. div. Oeuv. t. XII, p. 292, dans POUGENS)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Vous n'avez pas oublié les curieuses expériences que M. de Réaumur avait tentées avec les flèches empoisonnées des Américains ; un ours piqué par une de ces flèches mourut, je crois, en une demi-minute |
Lett. div. Oeuv. t. XII, p. 378, dans POUGENS |
flèche [1] |
| D'autres fois, moins sublime, mais non moins estimable, l'homme s'occupe des arts qui peuvent pourvoir à ses besoins ou augmenter ses commodités ; sa raison se fléchit à tout |
Contempl. IV, 7 |
fléchir |
| Un physicien célèbre définit le fluide un corps dont les parties ne sont pas liées ensemble, qui cède aisément au toucher, qui résiste peu à la division, et qui se répand comme de lui-même |
Contempl. natur. III, 3, note 1 |
fluide |
| Cette propagation paraît s'opérer par le ministère d'un fluide très subtil, connu sous le nom de fluide nerveux, et qui remplit les cavités invisibles des nerfs |
Contempl. nat. IV, 2, note 1 |
fluide |
| Le foetus est visible peu de jours après la conception ; il a donc acquis alors un volume plusieurs millions de fois plus grand que n'était son volume original |
Consid. corps org. Oeuv. t. V, p. 126, dans POUGENS. |
foetus |
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