Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "coffrer" du dictionnaire de français Littré
Ma foi, sire, on ne veut plus faire crédit à Votre Majesté ni à moi non plus ; et nous pourrions bien être coffrés cette nuit vous et moi
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Cand. 26)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Je serais mort en quatre jours, s'il me fallait vivre en homme du monde : je suis tranquille au milieu du tintamarre et solitaire dans la cohue |
Lett. Mme Florian, 12 oct. 1767 |
cohue |
Sous les ombrages toujours cois De Sully, ce séjour tranquille |
Lett. en vers et en prose, 7 |
coi, coite |
Nous devenons chrysalides dans l'utérus, lorsque nous sommes dans cette enveloppe qu'on nomme coiffe |
Newton, I, 8 |
coiffe |
Madame Aubert paraît avec un air modeste, Bien coiffée en cheveux, un déshabillé leste |
le Dépositaire, III, 2 |
coiffé, ée |
C'est un goût vif dont je me sens coiffé |
Bégueule. |
coiffé, ée |
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