Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "avoir [1]" du dictionnaire de français Littré
Mais dans le XVIIe siècle, on s'en servait devant une consonne, et on le faisait de deux syllabes : Que j'aie peine aussi d'en sortir par après
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Étour. III, 5, 7)