Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "hébété, ée" du dictionnaire de français Littré
Mais il est devenu comme un homme hébété
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Tart. I, 2)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
C'est de l'hébreu pour moi, je n'y puis rien comprendre |
l'Ét. III, 3 |
hébreu |
Comme les naturalistes remarquent que la fleur nommée héliotrope tourne sans cesse vers cet astre du jour... |
Mal. imag. II, 6 |
héliotrope |
La, la.... hem, hem, écoute avec soin, je te prie |
Fâch. I, 5 |
hem [1] |
Achetant cher, vendant à bon marché, et mangeant son blé en herbe |
l'Avare, II, 1 |
herbe |
Au sort d'être cocu son ascendant l'expose ; Et ne l'être qu'en herbe est pour lui douce chose |
Éc. des mar. III, 10 |
herbe |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "hébété, ée" du dictionnaire de français Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
J'en ai l'esprit tout hébété |
RÉGNIER
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Stances rel. |
hébété, ée |
Je laisse aux doucereux ce langage affecté, Où s'endort un esprit de mollesse hébété |
BOILEAU
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Sat. IX |
hébété, ée |
Il [Socrate] était fort laid, et, outre sa laideur, il avait dans sa physionomie quelque chose d'hébété et de stupide |
ROLLIN
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Hist. anc. Oeuv. t. IV, p. 387, dans POUGENS |
hébété, ée |
Être heureux comme un roi, dit le peuple hébété |
VOLTAIRE
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Disc. 1 |
hébété, ée |
Les nations hébétées demeuraient dans le silence |
VOLTAIRE
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Moeurs, 110 |
hébété, ée |