Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "effroyablement" du dictionnaire de français Littré
Mascarille : Vous ne me dites rien de mes plumes, comment les trouvez-vous ? - Cathos : Effroyablement belles
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Préc. rid. 10)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Comme la partie n'est pas égale, il faut user de stratagème et éluder adroitement le malheur qui me cherche |
Festin de P. II, 10 |
égal, ale |
| Un homme que je hais à l'égal de la mort |
École des maris, II, 11 |
égal, ale |
| Car enfin, madame, puisque votre exemple m'autorise, je ne feindrai point de vous dire que l'amour aujourd'hui s'est rendu maître de mon coeur.... je suis ravi, madame, que par cette égalité de défaite nous n'ayons rien à nous reprocher l'un à l'autre |
la Princ. d'Él. IV, 1 |
égalité |
| L'inclination d'une fille est une chose où l'on doit avoir de l'égard |
l'Avare, I, 7 |
égard [1] |
| Il vous jette en passant un coup d'oeil égaré, Et sans aucune affaire est toujours affairé |
Mis. II, 5 |
égaré, ée |
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