Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "velche" du dictionnaire de français Littré
Mlle Catherine Vadé assure que son cousin Antoine pensait que les Velches étaient les ennemis de la raison et du mérite, les fanatiques, les sots, les intolérants, les persécuteurs et les calomniateurs ; que les philosophes, la bonne compagnie, les véritables gens de lettres étaient les Français
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, ib. Suppl du Disc. aux Velches, Avert.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Cette épouvantable et absurde velcherie [la condamnation de Labarre] | Lett. au roi de Pr. 4 févr. 1775 | velcherie |
| M. Crawfort, madame, a quelquefois de petites velléités de sortir de la vie, quand il ne s'y trouve pas bien | Lett. Mme du Deffant, 21 oct. 1770 | velléité |
| Les personnes qui ont de l'embonpoint, les entrailles veloutées, le cholédoque coulant, le mouvement péristaltique aisé et régulier | Oreilles, 7 | velouté, ée [1] |
| Je vous avoue que je bats des mains, quand je vois que la justice n'est plus vénale | Lett. Florian, 1er avr. 1771 | vénal, ale |
| L'opprobre de la vénalité, dont François Ier et le chancelier Duprat avaient malheureusement souillé la France | Hist. parl. LXIX. | vénalité |
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