Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "vénal, ale" du dictionnaire de français Littré
Je vous avoue que je bats des mains, quand je vois que la justice n'est plus vénale
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. Florian, 1er avr. 1771)
Citation | Œuvre | Entrée |
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L'opprobre de la vénalité, dont François Ier et le chancelier Duprat avaient malheureusement souillé la France | Hist. parl. LXIX. | vénalité |
La vendange chantée par Théocrite, par Virgile, origine joyeuse des premières fêtes et des premiers spectacles | Mél. litt. à M. Dupont. | vendange |
Les conquérants qui ont envahi le monde n'ont pas été plus orgueilleux et plus acharnés que les vendeurs d'orviétan qui ont prétendu le connaître | Dict. phil. Coquilles. | vendeur, eresse |
Il eût mieux valu mille fois, dit un sage jurisconsulte, vendre les trésors de tous les couvents et l'argenterie de toutes les églises que de vendre la justice | Pol. et lég. Comm. Esprit des lois, 27 | vendre |
Des gredins du Parnasse ont dit que je vends mes ouvrages | Lett. Panckoucke, 13 févr. 1769 | vendre |
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