Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "bravade" du dictionnaire de français Littré
Moi, je serais cocu ? - Vous voilà bien malade ! Mille gens le sont bien, sans vous faire bravade, Qui de mine, de coeur, de biens et de maison, Ne feraient avec vous nulle comparaison
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Éc. des f. IV, 8)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Ta forte passion est d'être brave et leste | Éc. des fem. V, 4 | brave |
| Est ce que tu es jalouse de quelqu'une de tes compagnes que tu voies plus brave que toi ? | Am méd. I, 1 | brave |
| Il est de faux dévots ainsi que de faux braves | Tart. I, 6 | brave |
| Oronte et lui se sont tantôt bravés | Mis. II, 7 | braver |
| Je tiens que la braverie, que l'ajustement est la chose qui réjouit le plus les filles | Am. méd. I, 1 | braverie |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Les bravades enfin sont des discours frivoles | CORNEILLE | Pomp. II, 4 | bravade |
| Les bravades, la haine et le trouble où je suis | CORNEILLE | Perthar. IV, 1 | bravade |
| La bravade est aisée, un mot est bientôt dit | CORNEILLE | Attila, II, 1 | bravade |
| Vous n'avez aujourd'hui quitté votre embuscade Qu'afin de m'en conter l'histoire par bravade | CORNEILLE | le Ment. III, 1 | bravade |
| Faute d'un plus exquis et comme par bravade, Ceci me servira de mouchoir de parade | CORNEILLE | la Suivante, II, 4 | bravade |