Citation de GENLIS extraite de l'article "écouler (s')" du dictionnaire de français Littré
Nos soirées s'écoulaient sans ennui chez la reine ou chez madame la Dauphine
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Mme de Maintenon, t. II, p. 42, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Pourquoi voyons-nous tant de gens qui, nés avec de l'esprit, ne savent cependant ni causer ni écouter les autres ? c'est qu'on les a mis de trop bonne heure dans le monde | Adèle et Théod. t. II, lett. 33, p. 276, dans POUGENS. | écouter |
Vous êtes bien maîtresse de mettre de la pédanterie dans vos phrases, de vous écouter en parlant | Adèle et Théod. t. III, lett. 23, p. 179, dans POUGENS. | écouter |
Ce jeune homme se voit écrasé par mon fils d'une si terrible manière, qu'il est à craindre que l'amour-propre ne le conduise promptement à la jalousie | Théâtre d'éduc. le Voyageur, I, 4 | écrasé, ée |
Mon écriture n'est pas mauvaise, repartit Henriette, et, si vous le permettez, je serai votre maîtresse | Veillées du chât. t. I, p. 51, dans POUGENS | écriture |
Quand on a reçu une mauvaise éducation, on garde, en grandissant et même en vieillissant, tous les défauts de l'enfance | Veillées du château, t. I, p. 21, dans POUGENS | éducation |
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