Citation de GENLIS extraite de l'article "éducation" du dictionnaire de français Littré
Quand on a reçu une mauvaise éducation, on garde, en grandissant et même en vieillissant, tous les défauts de l'enfance
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Veillées du château, t. I, p. 21, dans POUGENS)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Je ne confondrai plus les éducations qui ne sont que brillantes avec les bonnes éducations, c'est-à-dire avec celles qui rendent bon et vertueux | ib. p. 442 | éducation |
| Ah ! quand vous m'auriez trahie, vous m'aimez toujours, tout est effacé | Th. d'éduc. Ennem. gén. II, 8 | effacé, ée |
| Ce que je ne comprends pas, c'est que l'envie de rire ne vous ait pas pris en voyant nos mines effarées | Th. d'éduc. l'Amant anonyme, III, 3 | effaré, ée |
| Il s'en est allé comme un effaré | Th. d'éduc. la Cur. V, 3 | effaré, ée |
| Elle ne fut ni surprise de sa conquête ni effarouchée d'une prompte déclaration | Mme de Maintenon, t. II, p. 3, dans POUGENS | effaroucher |
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