Citation de MARMONTEL extraite de l'article "ocieux, euse" du dictionnaire de français Littré
Oisif se disait de la personne, ocieux de la situation : pourquoi l'avoir abandonné ?
(Jean-François MARMONTEL, Oeuv. t. X, p. 432)
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| L'oeil est le sens de la beauté physique, et l'oreille est par excellence le sens de la beauté intellectuelle et morale | Élém. de litt. Oeuv. t. V, p. 329, dans POUGENS | oeil |
| Un même caractère a aussi ses traits d'ombre et de lumière qui s'embellissent par leur mélange | Élém. litt. Oeuv. t. VII, p. 427, dans POUGENS | ombre [1] |
| Nous mangerons un ombre-chevalier, et nous entendrons M. de l'Écluse | Mém. VII | ombre [4] |
| S'attrister est bien fou.... On est plus jolie à présent, Et d'un minois plus séduisant On a les piquantes finesses | Mél. de litt. Rép. à Voltaire. | on |
| On espérait le lendemain qu'il viendrait de bonne heure et avant la foule : on l'attendit, on fut inquiète ; il ne vint point, on eut de l'humeur ; il écrivit, on lut son billet et l'humeur cessa | Cont. mor. Heureux div. | on |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Et ne tiens point ocieuses Ces âmes ambitieuses | MALHERBE | II, 2 | ocieux, euse |