Citation de FÉNELON extraite de l'article "dépérir" du dictionnaire de français Littré

On en voit quelquefois [des enfants] qui dépérissent d'une langueur secrète, parce que d'autres sont plus aimés et plus caressés qu'eux

(François de Salignac de La Mothe FÉNELON, Éduc. des filles, ch. 5)