Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "oisif, ive" du dictionnaire de français Littré

On punissait une étourderie de jeune homme comme on aurait puni un empoisonnement ou un parricide ; les oisifs en poussaient des cris perçants, et le lendemain ils n'y pensaient plus et ne parlaient que de modes nouvelles

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Princ. de Babyl. 10)