Citation de COURIER extraite de l'article "embrené, ée" du dictionnaire de français Littré
On t'eût admise [à un bal royaliste] à cause de moi, qui suis la pureté même ; car j'ai été pur dans un temps où tout était embrené
(Paul Louis COURIER, Lett. II, 109)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| On frémit en voyant la timide gazelle descendre au rivage où le tigre est embusqué |
Lett. II, 319 |
embusqué, ée |
| [Un gendarme] ne gagne point de batailles, il empoigne les gens |
II, 263 |
empoigner |
| Où tout autre aurait trouvé du moins quelque honneur, j'en suis pour mon argent et ma réputation |
I, 61 |
en [2] |
| Quelque pauvre enamourée va s'y repaître de doux souvenirs |
Lett. II, 286 |
enamouré, ée |
| Je pleure encore un joli Hermès enfant que j'avais vu dans son entier, vêtu et encapuchonné d'une peau de lion |
Lett. I, 36 |
encapuchonné, ée |
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