Citation de DELILLE extraite de l'article "poitrail" du dictionnaire de français Littré
On voit sur son poitrail ses muscles se gonfler, Et ses nerfs tressaillir, et ses veines s'enfler
(Jacques DELILLE, Géorg. III)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Le discoureur aimable est ce mortel charmant Qui, poli sans fadeur, confiant sans audace, Répond avec justesse, interrompt avec grâce |
Convers. III |
poli, ie |
| Et parer le couchant des pompes de l'aurore |
Parad. perdu, IV |
pompe [1] |
| M. de Buffon surtout, ayant à peindre les merveilles de la nature, était plus autorisé à déployer, dans son ouvrage, toute la pompe de son style et toute la richesse de son imagination |
Trois règnes, Disc. prélim. |
pompe [1] |
| Roulant pompeusement ses flots majestueux |
Convers. I |
pompeusement |
| Soudain, de monts en monts s'élançant vers les cieux, Le pompeux Saint-Gothard apparaît à mes yeux |
Passage du Saint-Gothard. |
pompeux, euse |
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