Citation de MONTESQUIEU extraite de l'article "plébéien, ienne" du dictionnaire de français Littré
Par une maladie éternelle des hommes, les plébéiens, qui avaient obtenu des tribuns pour se défendre, s'en servirent pour attaquer
(Charles-Louis de Secondat MONTESQUIEU, Rom. 8)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Les plébéiens gagnèrent ce point, que seuls, sans les patriciens, ils pourraient faire des lois qu'on appela plébiscites.... ainsi il y eut des cas où les patriciens n'eurent point de part à la puissance législative |
Esp. XI, 16 |
plébiscite |
Les femmes n'y sont pas [à Paris] comme nos Persanes, qui disputent le terrain des mois entiers ; il n'y a rien de si plénier |
Lett. pers. 55 |
plénier, ière |
Annibal, qui pleura de douleur en cédant aux Romains cette terre où il les avait tant de fois vaincus |
Rom. v. |
pleurer |
Il faut pleurer les hommes à leur naissance, et non pas à leur mort |
Lett. pers. XL. |
pleurer |
Drusille, à qui il [Caligula] accorda les honneurs divins, étant morte, c'était un crime de la pleurer, parce qu'elle était déesse, et de ne la pas pleurer parce qu'elle était sa soeur |
Rom. 15 |
pleurer |
Plus de citations de MONTESQUIEU... |
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "plébéien, ienne" du dictionnaire de français Littré