Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "trémie" du dictionnaire de français Littré
Ô philosophes.... mon sage est le conducteur de mon moulin, lequel pince bien le vent, ramasse mon sac de blé, le verse dans la trémie, le moud également et fournit à moi et aux miens une nourriture aisée
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Dict. phil. Xénophanes.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Cette voiture [un carrosse belge] est spécifique, Pour trémousser et secouer Un bourguemestre apoplectique ; Mais certe il fut fait pour rouer Un petit Français très étique, Tel que je suis, sans me louer | Lett. au roi de Pr. 20 juill. 1740 | trémousser |
| J'ai bien à leur parler d'autre chose [à ses anges, M. et Mme d'Argental], et voici sur quoi je supplie leurs ailes de trémousser beaucoup | Lett. d'Argental, 10 déc. 1766 | trémousser |
| Voyez, informez-vous ; que votre amitié se trémousse un peu | Lett. Thiriot, 8 déc. 1735 | trémousser |
| Je partis pour Champs, mon adorable ange, au lieu de dîner ; je me mis dans le trémoussoir de l'abbé de Saint-Pierre, et me voilà un peu mieux | Lett. d'Argental, septembre 1744 | trémoussoir |
| Les armes ne furent plus d'une assez bonne trempe | Louis XIV, 18 | trempe |
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