Citation de GENLIS extraite de l'article "parc" du dictionnaire de français Littré
Pour conserver l'herbe, on ne livre chaque jour au troupeau que ce qu'il peut consommer ; on le retient dans un parc, où il trouve assez d'herbe pour le nombre des moutons
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Maison rust. t. I, p. 245, dans POUGENS)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Après les avoir enlevés de la pépinière [les jeunes plants], on peut parer les racines sans aucun inconvénient | Maison rust. t. III, p. 221, dans POUGENS | parer |
| Les présents de parfilage que l'on recevait au jour de l'an | Mém. t. III, p. 174, dans POUGENS | parfilage |
| On demandait à tous les hommes de sa connaissance leurs vieilles épaulettes d'or, leurs vieux noeuds d'épée, leurs vieux galons d'or, que l'on enlevait ainsi à leurs valets de chambre, et l'on parfilait toutes ces choses, c'est-à-dire qu'on séparait l'or de la soie pour le vendre à son profit | Mém. t. III, p. 173, dans POUGENS | parfiler |
| Toutes les parfileuses se déchaînèrent contre moi.... malgré l'universalité de la mode, je n'avais jamais voulu parfiler.... une habile parfileuse gagnait à ce métier cent louis par an | Mém. t. III, p. 173 et 174, dans POUGENS | parfileuse |
| C'est une sérieuse conférence, je le parierais bien | Théât. d'éduc. la Bonne mère, I, 2 | parier |
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