Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "amorti, ie" du dictionnaire de français Littré
Quand de nos jeunes ans l'éclat est amorti
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Mis. III, 5)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Je vois de votre teint les roses amorties | Psych. IV, 3 | amorti, ie |
Il disait qu'il m'aimait d'une amour sans seconde | Éc. des F. II, 6 | amour |
Vous ne pouvez aimer que d'une amour grossière | Femmes sav. IV, 2 | amour |
J'ignore le destin de mon amour ardente | le Dép. IV, 3 | amour |
L'aimes-tu d'une amour qui soit si violente ? | Mélic. I, 2 | amour |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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L'inimitié qui règne entre nos deux partis N'y rend pas de l'honneur tous les droits amortis | CORNEILLE | Sertor. III, 2 | amorti, ie |
Hélas ! il consultait de mettre bas les armes ; Et déjà son courroux était presque amorti | ROTROU | Antig. III, 7 | amorti, ie |
Et jurant que la flamme est du tout amortie | RÉGNIER | Élég. II | amorti, ie |
Les passions amorties dégradent les hommes extraordinaires | DIDEROT | Pens. phil. 9 | amorti, ie |
Quand la fougue de la jeunesse sera amortie | VOLTAIRE | Ingénu, 13 | amorti, ie |