Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "denier" du dictionnaire de français Littré
Quatre ou cinq mille écus est un denier considérable et qui vaut bien la peine qu'un homme manque à sa parole
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Pourc. III, 9)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "denier" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Il vend pour trente deniers celui qui devait être la rédemption du monde | BOURDALOUE | Myst. Passion de J. C. t. I, p. 262 | denier |
| Le denier était la deux-cent-quarantième partie d'une livre d'argent | VOLTAIRE | Moeurs, 19 | denier |
| Claire comme un bassin, nette comme un denier | RÉGNIER | Sat. X | denier |
| C'est la parfaite Deiopée, Un vrai visage de poupée ; Au reste, on ne peut le nier, Elle est nette comme un denier | SCARRON | Virg. trav. I | denier |
| Un débiteur dont il faut exiger jusqu'au dernier denier | MASSILLON | Carême, Élus.... chacun repousse Jeanne qui n'a pas un denier, BÉRANG. Jeanne la Rousse. | denier |