Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "muer" du dictionnaire de français Littré
Qui de Méduse eût vu jadis la tête Était en roc mué soudainement
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, dans le Dict. de BESCHERELLE.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Voyant muer quelquefois sa peau [du serpent], ils [les hommes] durent croire qu'il rajeunissait | Moeurs, Us. et sent. | muer |
| Les oracles ont duré plus de quatre cents ans après Jésus-Christ, et ils ne sont devenus tout à fait muets que lors de l'entière destruction du paganisme | Dict. phil. Oracles. | muet, ette |
| Vos bouches sont muettes | Oreste, III, 4 | muet, ette |
| Vous affectez sur elle un odieux silence, Interprète muet de votre intelligence | Adél. du Guesclin. II, 7 | muet, ette |
| Et je ne pense point Que le ciel de mon sort à ce point s'inquiète, Qu'il anime pour moi la nature muette | M. de César, III, 5 | muet, ette |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "muer" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Un paon muait ; un geai prit son plumage, Puis après se l'accommoda | LA FONTAINE | Fabl. IV, 9 | muer |
| Communément, c'est vers la fin de l'été et en automne que les oiseaux muent | BUFFON | Ois. t. I, p. 61 | muer |
| Il y a des chevaux qui muent de corne, cela arrive surtout à ceux qui ont été élevés dans des pays humides et marécageux comme en Hollande | BUFFON | Quadrup. t. I, p. 123 | muer |
| Sa voix mue, ou plutôt il la perd | ROUSSEAU | Ém. IV | muer |